Audrey Bortels, Business Development Manager Care Expert Cleaning
Sien De Clerck, Sales Care Expert Cleaning
Luc Magette, Calculator Care Expert Cleaning
Audrey Bortels est Business Development Manager Care Expert Cleaning, Sien De Clerck est Sales Expert Cleaning et Luc Magette est Calculator. Tous ont besoin de savoir exactement ce qui se passe dans une salle blanche. Nous leur avons demandé pourquoi.
Dans une salle blanche, tout se déroule selon des directives strictes. En pharmacie, selon les lignes directrices GMP, qui signifient Good Manufacturing Practices (bonnes pratiques de fabrication). Celles-ci déterminent comment un produit est fabriqué correctement et en toute sécurité. Ces directives garantissent la qualité des produits dans le secteur pharmaceutique.
« L’annexe 1 des directives européennes sur les GMP définit toutes les procédures en détail. L’annexe 1, qui comptait 17 pages, en compte aujourd’hui 57, ce qui est énorme », explique Audrey.
« Pour Care, cela ne changera pas grand-chose », explique Audrey. « D’ailleurs, c’est en concertation avec le client que les procédures et les instructions de travail sont adaptées à ces changements. Il est donc important que nous soyons nous aussi au courant de tout. En effet, la moindre erreur dans une salle blanche peut être source de nombreux problèmes. Une particule de poussière ou un virus peut faire dérailler toute la production. Notre travail consiste donc à surveiller et à évaluer brièvement nos employés afin de pouvoir intervenir immédiatement en cas de problème. La discipline au sein de nos équipes est donc une priorité absolue. C’est pourquoi nous devons nous aussi savoir ce que l’on attend de nous ».
Sien a donc également participé à la formation sur l’extension de la nouvelle annexe 1 des EU-GMP.
Après que Sien a mené son entretien de vente, une offre s’ensuit. Cette offre ne vient pas du jour au lendemain. D’abord, le calculateur Luc calcule le temps nécessaire et le prix de revient correspondant. Lui aussi doit donc savoir ce qu’implique le nettoyage d’une salle blanche.
« Je suis impliqué dès le début du processus », explique Luc.
« Tout dépend également du produit fabriqué dans la salle blanche et de la classe de la salle blanche. Par exemple, une salle blanche de classe A a des procédures beaucoup plus strictes qu’une salle blanche de classe D. Cela va du nombre d’opérations à la lenteur avec laquelle les personnes sont autorisées à se déplacer dans une salle blanche, en passant par la manière dont elles se changent. Le nettoyage d’une salle blanche biologique, où l’on fabrique des médicaments, par exemple, nécessite également des opérations différentes de celles d’une salle blanche de haute technologie où l’on produit des circuits imprimés.
Toutes les spécifications, aussi petites soient-elles, prennent énormément de temps. Nous en tenons compte dans nos calculs afin que nos collaborateurs disposent de suffisamment de temps pour faire leur travail correctement. »
Pour effectuer les bons calculs, Luc consulte Sien, le chef d’équipe ou le District Manager.